Wednesday, April 9, 2008

Pub interdite Xbox: Hormones trouvés! Humour on top!



Pub interdite Xbox: TOUCHÉ!
C'est ça que je cherchais pour phantasme de jeu. La, on a toutes les clichées traités avec de l'humour non-démonstratif, non-agressif. même si l'épisode est bien poussé en duré sur une seul sketch - y'a pas de kitch a l'horizon. mais que du plaisir un peu carnavalesque, un peu conviviale. (je ne sais pas pourquoi, j'aurais envie de tricher a ce jeux la, personne ne le fait)

Touché, Mr. ou Mme. XBox. Ni prout pseudo-artistique-erotique (Ferrero-Rocher), ni d'excès de zel anti-promo (GAP). BIen et simple, avec un ingrédient charmant qui nous prends dans son jeu: la tentation de l'infantilisme. mmmrrrrrrrrrr.

a la recherche des hormones du plaisir: GAP pub interdit




Oh les endorphines, l'adrénaline, l'anarchie, les réactions en chaine, le tribalisme, la violence, le chocolat.

A la même extrême (pas a l'autre, comme les apparences le souhaiteraient) que les chocolats extrafines, la pub interdite GAP dechiiiiiireeeeeeeeeeeee. Lorsque Ferrero Rocher est opressive par cette sérénité neuroleptique qui constipe, et GAP est defoulateur en utilisant les memes clichées commerciales, sans les dépasser.

Les deux sont aussi loin des vraies phantasmes humaines (je n'inclue pas le simili-pathologiques), que les dessins néolithiques de pokemons, mais je donne crédit eu GAP parce-qu'ils au moins essaye de pénétrer dans une zone jouissive de la condition humaine, la violence, destruction, l'iconoclasme capitaliste.

parce que c'est dynamique et rythmée en allégro, parce-qu'il y a cette femme sous anti-dépressives dont l'expression avant de plonger est tellement câline, qu'on a vraiment envie d'y croire. Mais tout cette destruction (plus effrayante qu'ils l'ont voulu, je trouve) nous fait assez mal pour ne plus palpiter a l'avenir du prochaine collection GAP. C'est tellement exténuant, qu'on perd les hormones qu'il faut pour consommer.

Eh, voila si on joue avec les humeurs comme des brutes, on se brule.



Ferrero Rocher Noel = est-il beau?

Ouaisssss hmmmmm,
je trouve que c'est mieux que les autres, comme on ne sous-enchérit pas la chromatique d'oreeeeeee. Alors qui, c'est joli, mais faisons attention aux pti pièges: le fait que l'image est plus sombre et les visages moins figés ne rend pas ce pub plus artistique. Peut-etre plus impressionnant par rapport a l'impeccabilité de la miroir markéting, peut-etre plus mystérieux parce-que la mythologie Viking est moins fumée. Mais la fausseté, la linéarité et monovalence sont la toujours, grosse fatalité pour le "Ferrero prestige".

si on juge en ensemble, même tragi-comédie: la neige explique tout, bande de naz.

Mais par rapport au contenu, c'est assez pourri, on utilise toujours le même longues pauses (quasi-fellation) de mener la boule a la bouche, mais faites gaffe: on ne se
salit jamais, lorsqu'on est aussi désespérément RA-FI-NÉES!!!

Peut-on feter sans Ferrero Rocher? Oh les craneurs!

Peut-on fêter sans Ferrero Rocher?

réponse: oh que OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII!!!

(qu'on ne se laisse pas manipulés par les bonnes vieilles questions rhétoriques, tiens)
C'est dégueulas ces pubs, soit pour Noel , soit pour les pauvres Pâques (dont le lien j'ai même pas, et ce n'est pas étonnant que ne ne l'ai pas trouvé)...

Mais comment peut-on avoir envie de ce chocolat quand tout ce qu'elle respire c'est un kitch lourd, un mauvais gout sans équivoque et une prétention de raffinement directement mise en ridicule par le maudit mélange entre les notions de richesse et plaisir (ou richesse = plaisir), amusement et lux (amusement = lux) et, bien-sur - si c'est quelque chose emballée en aluminium dorée (qui est encore plus dégueulas) et en boule, c'est forcement précieux. Mais les ciels du bon gout sont encore très très loin ce cette boule gonflée. Au moins, on est persévérant en mauvais inspiration.

Ferrero Garden = des jeunes pourri-gâtés et boulimique, un peux fumés en reconstituant ce labyrinthe (encore une fois, strategie marketing digne a applaudir: le symbole d'initiation dans la culture classique marié au remake du jardin BOBO)

Ferrero Paques = oh, sans blague. on est coincées dans une vitre de bibelots soufflés d'un or aussi accablant que faux. Sacrebleu, comment on pose, comment c'est ennuyant et sans dynamisme. Mais des fausses messages on déborde. Chocolat du lux, concept de m...e. Pardon, somme c'est sorti!

Ferrero Ambassador's party: prout prout. L'intro d'un mauvais film porno des années 70. Mais c'est comique malgré et a cause de tout ce ridicule, qui le fait passer mieux.

Avachie chaque fois par cette image (encore une fois, d'orée = beauté, la personnification du kitsch qui donne mal au ventre - pas le kitsch qui épanouie) qui concocte les mythologies grecques, nordiques ou chrétiennes a l'aveugle, on se trouve noyés dans une soupe infernale de clichées a la décadence et un épicurisme très mal imaginé, au bord du cauchemar.

Chaque fois que je vois ce pubs, j'ai mal au foie.
Oh, je me suis défoulée. Que ça fait du bien. Et vous?

Maintenant je peux oublier tout ce mots qui me venaient comme des jouerons: prétentieux
fat, présomptueux, vaniteux, crâneur, faraud, affecté, pompeux, ampoulé, précieux, ronflant, alambiqué, guindé, maniéré.